Le 16 mars, le gouvernement espagnol a voté l’état d’urgence et ordonné la fermeture des écoles. Les semaines précédant  les vacances de Pâques, les écoles ont mis en place pour certaines des cours en ligne de façon très inégale.  D’autres n’ont pas été capables de fournir ce service à leurs étudiants. 

Il semblerait que le Lycée français de Barcelone soit concerné. Il n’aurait pas assumé sa mission éducative vis à vis de ses élèves.  Des parents font circuler une pétition  avec la «Demande de suppression ou remise substantielle sur les frais de scolarité pour un service qui n’est malheureusement pas rendu, ou de manière très limité et insuffisante, pendant la période de confinement» . D’autant qu’un retour en classe avant septembre semble de moins en moins certain.  

Pierre Olivier Bousquet (1), conseiller consulaire pour la Catalogne , a pour sa part écrit à la députée Samantha Cazebonne, copie au Consul Général de France à Barcelone et au Proviseur du LFB, pour l’alerter sur la situation des parents en temps de crise et demander » un geste sur les frais de scolarité non engagés et un échelonnement des paiements.» 

(1)  lettre publiée sur son Face Book